Quatre mots pour résumer cette étape : pluie, vaches, éoliennes et vide.
Deux heures de pluie au démarrage, ça réveille !
Beaucoup de beuglements, heure de la traite oblige ou protestations car sortie impossible? Les conducteurs des camions de ramassage du lait, eux, se dépêchent pour profiter de leur dimanche.
Où que se porte le regard: des éoliennes. Ces moulins modernes, tournent sans arrêt, le vent est parfois violent.
Vide car c'est la première fois que je ne peux boire un verre dans le village où se trouve l'auberge. Comme disent les habitants de Léon qui sont avec moi, "Ce n'est pas l'Espagne!" Rien pour manger non plus, le restaurant qui a aussi une partie supermarché a fermé juste après mon passage. J'ai à peine eu le temps de faire de rapides achats; ce soir ce sera donc, tomate, thon en boîte, yaourt et pêche au sirop.
Curieuse Galice .... maintenant brille le soleil. La grisaille de ce matin ne m'a pas incitée à sortir l'appareil photo.
Te voilà donc arrivée à proximité du point de choix entre Fisterra ( sur ta gauche) et Muxia ( donc sur ta droite). Allez demain après midi, tu baigneras tes pieds dans l'Océan ( les pieds et le reste...)! Et le Soleil sera là! Un abrazo!
RépondreSupprimerLa première photo, j'imagine que c'est le lac de Fervenza?
RépondreSupprimerje ne t'ai pas oublié (j'ai suivi tous les jours ton chemin) mais je n'avais pas d'inspiration. Je pense que tu vas bientôt en voir le bout. Enfin résumons : BRAVO
RépondreSupprimerMaryse d'Audenge