Dernier jour.
Je n'ai compté ni le nombre d'églises ni le nombre de marches montées ou descendues mais je me régale.
Expositions d'art contemporain dans divers lieux de la ville ( palais, églises, jardins ) et un petit tour dans le marché.
En fin de journée, messe du pèlerin et mise en mouvement du fameux " botafumeiro" ( encensoir géant actionné par plusieurs hommes ).
Le tout bien arrosé par l'eau du ciel!
Les moments de repos aux terrasses des cafés tout comme le son des cloches vont me manquer mais que de riches et bons souvenirs.
vendredi 19 septembre 2014
Santiago
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oui c'est le dernier jour mais tu vas revenir riche de souvenirs et de rencontres (je suppose que du bonheur) bises d'une audengeoise
RépondreSupprimerBravo! Tu as fait le plein;;;pour quelques mois!
RépondreSupprimerNous t'attendons!
Bises
Bientôt, ... un nouveau "Chant de l'étoile?" Bon retour.
RépondreSupprimerJe suis heureuse de voir que tout se passe bien pour toi même si la pluie ne semble pas t'épargner... Je te souhaite encore plein de bons moments puisque je crois comprendre que tu prolonges ton séjours avec tes amis marcheurs. Bisous à plus Nathalie
RépondreSupprimer« Vers le Chemin de vie »,
RépondreSupprimerIl est vert, il est d’eau, il est bleu, bref il t’inspire beaucoup de poésie et imagination, ce chemin portugais. Garcia Lorca, Rimbaud, Baudelaire, Victor Hugo, accompagnent même tes pas parmi les belles rencontres effectuées en chemin. Tous réunis, ils inspirent ta réflexion et favorisent même écrit ou dessin, voire même peinture. Tout est alors réuni pour faire de ton chemin un temps d’harmonie que viennent consacrer la rencontre avec l’art galicien, la poignée de mains du jeune coréen, ou la purification spirituelle du botafumeiro !
Tout cela est bien beau et tu dois être remerciée pour ce partage ! Il te reste toutefois la mission plus profane de nous faire déguster le confit de canard choucroute, le poisson grillé à la rafle de maïs et de nous faire goûter un vieux porto autre que celui que tu n’as pas apprécié ! Tu noteras que je n’évoque pas le reste de chocolat de Nina, que tu sembles avoir toujours gardé en souvenir !